Le don du lavement des pieds (Jn 13,1-20)
Contrairement aux autres évangélistes, Jean ne fait pas mention de l’institution de l’eucharistie préférant raconter, à l’occasion du dernier repas de Jésus, le geste du lavement des pieds.
Contrairement aux autres évangélistes, Jean ne fait pas mention de l’institution de l’eucharistie préférant raconter, à l’occasion du dernier repas de Jésus, le geste du lavement des pieds.
Jérusalem annoncée est maintenant en vue. L’entrée dans la ville est associée à l’arrivée tonitruante de Jésus dans le Temple (21,12-17). Le débat avec la classe sacerdotale ne fait que commencer.
Ce récit du retour à la vie de Lazare, épisode connu, ne constitue que les huit derniers versets. Avant d’arriver à ce « miracle », l’évangéliste déploie un cheminement qui n’est pas sans nous poser questions.
Le récit de la Pentecôte a montré combien le don de l’Esprit Saint aux Apôtres et disciples leur offrait de proclamer, en diverses langues les merveilles de Dieu, paroles destinées à un public juif très divers. Mais quel est ce propos des disciples ? Qu’est-ce que cela signifie ? Le discours de Pierre en donne maintenant l’interprétation.
Que deviennent Noé et le déluge aujourd’hui ? Regard sur quelques adaptations : Noé (film de D. Aronofsky), La prophétie des grenouilles (Animation de J.R. Girerd), Noé (BD de David Ratte), Evan Tout-Puissant (T. Shadyac), etc.
On connaît, surtout, du récit dit de la Pentecôte, sa partie narrative. Or celle-ci n’est que la première section (2,1-13), courte, d’un ensemble qui comporte aussi une partie discursive d’importance offrant l’interprétation du don de l’Esprit avec le discours de Pierre (2,14-41) – et que nous lirons avec l’article suivant.
Le déluge est à jamais fini, et commence une autre aventure, ou plutôt mésaventure, pour notre héros. Ces versets sont, en quelque sorte, l’épilogue de l’histoire.
Entre l’ascension de Jésus et la Pentecôte, Luc a inséré l’épisode du choix de Matthias. Les Onze redeviennent les Douze. Mais pourquoi ? D’autant que le groupe des Douze interviendra très peu par la suite.
L’alliance est le sujet unique et principal de l’ensemble du passage. Le mot y est répété 7 fois. C’est la première alliance du livre de la Genèse.
Ce passage se situe dans la continuité du récit de l’ascension qu’il conclut. Il nous donne à voir la vie de la communauté de Jérusalem.
Sitôt sorti de l’arche Noé bâtit un autel et procède à des sacrifices. Quel est le sens de ce geste et de ce passage ?
Après l’adresse à Théophile, Luc ouvre son ouvrage par un rappel de son évangile. Il n’en fait pas pour autant un résumé. Ces premiers versets vont insister sur le caractère eschatologique de l’assemblée des disciples et Apôtres.
Nous sommes en la 600e année de Noé et toutes les créatures terrestres disparaissent. Toute ? Non ! Une arche peuplée de couples d’animaux embarqués avec Noé et les siens, résiste encore et toujours à la fureur des eaux. Et la vie n’est peut-être pas facile pour cet équipage et leurs passagers, ballottés par les flots.
Au sein du Nouveau Testament, le livre des Actes des Apôtres est, selon moi, l’œuvre la plus délicate à commenter. Non que les Actes soient complexes....
Le déluge destructeur se déverse maintenant sur la terre, soulevant l'arche, et engloutissant toute autre vie.