À l’aube de la Passion

Nous voici à l’aube du Triduum Pascal, cette période de trois jours qui célèbre la Pâque de Jésus avec son dernier repas, sa passion et sa résurrection.
Actualité du site et du podcast
Nous voici à l’aube du Triduum Pascal, cette période de trois jours qui célèbre la Pâque de Jésus avec son dernier repas, sa passion et sa résurrection.
Je vous souhaite, amis chrétiens, un bon carême, avec le double sens de cet adjectif évoquant à la fois la bonté et l'adéquation. Mais-je vous souhaiter bonne course ?
2 février : fête de la présentation au Temple (Chandeleur) et jour particulier où l'on aime déguster les crêpes... Et, ma curiosité de bibliste m'a amené à cette question : y'a-t-il des crêpes dans la Bible ?
Quelques mots sur la prochaine série : Abraham, le nomade de Dieu. Pensez à vous y abonner !
Je ne savais si j’allais encore écrire un mot pour ce Noël, tant j’ai l’impression d’une redite annuelle, autosatisfaction scrupuleuse du prédicateur, dont la parole ne tombera que dans quelques oreilles sourdes et bien-pensantes.
Le podcast fête ses 5 ans et nous allons célébrer cet anniversaire ensemble ! Plein de cadeaux vous attendent...
Et si Noël était l’histoire d’une perte de temps ? Pourquoi Dieu perd-il son temps en des lieux ignorés et auprès de personnages improbables ?
Dans le récit de la nativité, que nous offre l’évangéliste Luc, la naissance de Jésus possède un caractère bien particulier. Elle situe « à part » comme le laisse entendre ce verset :
Ne cherchez pas le récit de l’Assomption de Marie, mère de Jésus, dans les évangiles ou les Actes des Apôtres : vous ne le trouverez pas. Cependant...
Entre les bergers et l’enfant de la crèche, prêtons-nous attention à cette troupe céleste qui accompagne l’annonce de la naissance du Sauveur, et plus particulièrement à leurs paroles ? Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes, qu’Il aime. Paroles connues dans cette version latine : GlooooOoOoOoOoOoOoOoooria in excelsis Deo.
Triste Toussaint. La pandémie continue ses ravages dans le monde. Notre pays revit, certes différemment, le confinement de ce printemps. Et bien plus, nous pleurons les victimes de l’attentat de Nice. Sans doute aussi avons-nous, personnellement ou autour de nous, bien d’autres afflictions. Et voilà que l’Évangile de cette Toussaint nous fera entendre ce mot de Jésus dans l’Évangile selon saint Matthieu : « Heureux ! »
C’est une forte et triste tentation : expliquer le mystère Trinité à partir de l’arithmétique ou la physique quantique pour montrer combien 3 x 1= 1. Une autre tentation consiste à puiser dans l’allégorie et la métaphore pour raconter le 3 en 1, le packaging divin. En réalité, la bonne question n’est pas « Comment expliquer la Trinité ? » mais « Que nous dit ce mystère ? Que révèle-t-il de Dieu ? » Les textes de ce dimanche peuvent-ils nous aider à y répondre ?